Je vais commencer mes questions sur la 3D !!

Bonjour à tous,

Merci JM,

Donc il y a possibilité ( au fait laquelle ? ) de changer les connecteurs Dupont
en connecteurs HX ? ressouder ? re-sertir ? ou trouver des connecteurs tout fait
PAP--> HX ?

Au fait, comment se nomme les connecteurs des PAP ? des Dupont aussi ?

Merci !

Hervé

Re,

Les connecteurs de tes moteurs, il faudrait une photo pour être sûr.
Mais souvent ce sont des micro XH 6p (6 points).
Tu peux trouver des câbles XH tout faits.
Sinon, moi je préfère les faire moi même pour la qualité des câbles, à l'aide de connecteurs et d'une bonne pince à sertir qui fait le 0.25mm.
Ce qu'il faut pour les cartes MKS ce sont des :
- XH 4p pour les moteurs
- XH 3p pour les fins de courses
- XH 2p pour les thermistances.
Et si tu veux vraiment bien faire, il faut des ferrules pour les alimentations :
-3 pour l'arrivée AC
- 2 pour la sortie DC
- 2 pour le DC permanent (lumières leds, ventilos hotend et électronique
- 2 pour l'arrivée DC
- 2 pour la sortie lit chauffant
- 2 par cartouches chauffantes hotend.
- 2 pour les ventilos pilotés

Attention dans mon message précédent je te parlais de connecteurs HX, je confonds tout le temps, ce sont des XH en fait.

Si tu cherche du bon câble pour les circuits moteurs et les fins de courses, alors prends du 22AWG.
Celui pour les bandes de leds RGB est très bien.

++JM

Bonsoir à tous,

Encore une chtite question qui me passe par la tête !

Les fins de course, je les voit qui sont posées à gauche
du portique ( X ?? ) en arrière du plateau, et en bas du Z ??
là je ne comprend pas !

Est-ce qu'il faut régler la fin de course pour mettre la buse à une épaisseur
de feuille du plateau ? mais je doute de la précision ? alors à quoi sert-il ?
Ou alors j'ai raté quelque chose !!

Merci à vous tous, Hervé

Bonjour,

La prise d'origine offrent des points de référence tangibles.
Dans le firmware on peut déterminer la distance du plateau à partir des origines XY.
Pour le Z, le plateau est réglable. On prend l'origine Z, puis on règle le plateau de manière à offrir une planéité parfaite, sinon acceptable.
A noter que ce dernier point est crucial pour une bonne impression car il en va de l'adhérence du modèle et de la propreté de la première couche.

Si la machine est bien conçue, c'est à dire rigide et stable, la prise d'origine est fiable.

++JM

Bonjour à tous,

Merci JM pour ta réponse,

Alors suivant ta réponse, le " home " du Z serait " fiable " à une épaisseur de feuille
uniquement grâce à une molette imprimée une vis et un ressort ?

Je sais que je " vient " de la CNC, mais je pensais qu'il fallait refaire sont Z avant chaque
impression ? alors non ?

Je crois que j'aurai peur que ma buse défonce mon lit, à chaque "home " !!

Merci à toi,

Hervé

Re,

La prise d'origine, sur tous les axes, sera faite avant chaque impression de toute manière.
Une feuille de papier de 80g fait 0.05mm d'épaisseur, elle sert de pige.
Moi j'en utilise une en métal, mais en papier ça le fait bien aussi.

Le système vis-ressort de réglage du plateau suffit généralement.
Ou tout du moins, quand il y a des problèmes, ça ne vient pas de là,
mais plutôt de la rigidité du chariot Y ou du jeu roulements/transmission.
Le pire ce sont les chariots Y en acrylique qui deviennent mou à proximité du lit chauffant.
Du coup, on a l'impression que la prise d'origine bouge tout le temps, tandis que c'est le chariot qui se déforme.

Les contraintes ne sont pas du tout les mêmes entre Fraiseuse et Imprimante.
La fraiseuse attaque de la matière dure, tandis que le dépôt de filament à la consistance du beurre ramolli.
Soit quasiment aucune contrainte en opération, si ce n'est de déplacer les éléments mobiles.
Dans ce cas, la légèreté et la simplicité sont même des atouts.

++JM

Hello !

Hervé-34 a écrit:Bonjour à tous,

Merci JM pour ta réponse,

Alors suivant ta réponse, le " home " du Z serait " fiable " à une épaisseur de feuille
uniquement grâce à une molette imprimée une vis et un ressort ?

Merci à toi,

Hervé

Je crois que tu t'es ( non, c'est moi qui me suis mal exprimé ! ) trompé sur mon doute,

Ce que je voulais dire, c'est que le réglage du Z se faisait avec une molette !
pas le plateau! ça je sais ! mais le réglage du Z me faisait peur de faire confiance dans
une molette et un ressort !

C'est vrai qu'en CNC, le Home Z se fait en haut, le logiciel le sait et en tient compte !
mais là je ne comprend pas pourquoi il est en bas !

-- Autre chose, parfois j'ai vu 2 endstop par direction ? est-ce utile ?

Encore merci !

Hervé

Re,

En fait, tout le principe vis-ressort fonctionne sur imprimante 3D, même pour le réglage de la profondeur Z.
Si vraiment tu as peur que ça bouge, met un contre-écrou, tu dormiras tranquille

Quand il y a deux capteurs par axe, c'est qu'ils fonctionnent en garde-fou (endstop ou fin de course).
Normalement ça n'est pas nécessaire, car la machine sait où elle est.
Sauf que traditionnellement avec les machines manuelles, on faisait sa prise d'origines sur la pièce.
En gros on mettait son brut au centre du plateau sur un étau et l'on mettait son "0" dans un coin du brut.
Vu qu'on déplaçait la table croisée à la main, il y avait peut de chance d'aller au delà de la course machine.
Or sur une CNC le "0" c'est pas l'origine sur la pièce, mais bien l'origine du plateau.
Or si tu le décale d'une distance +- d'un demi plateau, potentiellement la machine peut vouloir aller au bout du plateau,
qu'elle imagine donc plus loin que là où c'est physiquement.
Du coup, on mettait un fin de course de chaque côté pour éviter de forcer la mécanique au delà de la course machine.
Sur ma fraiseuse CNC, vu que je garde toujours le "0" absolu, la machine n'a jamais butté en fin de course,
il faut dire que mes drivers numériques sont en boucle fermée avec un encodeur,
donc la machine sait toujours où elle est, il n'y a pas de perte de pas possible.

Sur imprimante 3D déjà les capteurs fonctionnent en prise d'origine et pas en fin de course.
En clair, la machine ne va pas stopper si on dépasse le capteur, sauf lors de la prise d'origine.
Deuxièmement, en cas de panne technique où la machine voudrait dépasser sa course, ce qui va se passer n'est pas bien grave.
Les moteurs Nema17 n'ont pas beaucoup de couple et vont brouter sur place sans grandes conséquences.
Donc 3 capteurs pour les prises d'origine suffisent. On les pose traditionnellement en mini, donc au "0" absolu.

Sur CNC on ne met pas forcément le Z min en haut.
Moi je prends toujours mon Z min en bout d'outil avec un capteur.
Lors de la création de mon parcours d'outil je détermine la hauteur du brut et l'usinage se fait en fonction des deux paramètres.
Mais je crois que la confusion vient du fait que le fraisage est soustractif tandis que l'impression 3D est additive (et addictive, en passant).

++JM

Re !

J-Max.fr a écrit:Re,


Sur CNC on ne met pas forcément le Z min en haut.
Moi je prends toujours mon Z min en bout d'outil avec un capteur.
Lors de la création de mon parcours d'outil je détermine la hauteur du brut et l'usinage se fait en fonction des deux paramètres.
Mais je crois que la confusion vient du fait que le fraisage est soustractif tandis que l'impression 3D est additive (et addictive, en passant).

++JM

Oui, je crois que c'est addictif ( je suis mort )

Pour la CNC, je n'arrive pas toujours à bien m'expliquer, mais
c'est mon référencement qui est en haut du Z, effectivement,
après je fait mon O ou sur la pièce, ou sur mon martyr comme le fait
parfois David, selon les pièces à travailler.

Donc je fait confiance au réglage du Z !!

Merci à toi,

Hervé

Salut,

Hervé, la grosse différence entre l'imprimante et la CNc, c'est que sur une CNc, tu prends un 0 machine (référencement), puis ensuite un 0 pièce, qui est un décalage du point 0 par rapport aux coord machine.

Avec une imprimante, tu prends aussi les coord machine, mais il n'y a pas de coord pièce, ou plus exactement, elles sont identiques aux coord machine.

Sur une imprimante, tu ne fait donc pas un 0 sur la pièce. La raison en est qu'en fraisage, tu a un bout de matière posé sur la table, et qu'il faut bien savoir ou il se trouve pour ne pas usiner à coté. Sur une imprimante, tu peux commencer ou tu veux, pas besoin de savoir ou est la matière puisque c'est l'imprimante qui la met sur la table .. tu a juste besoin de savoir ... ou est la table

On prends la référence Z sur la table, mais rien n’empêcherait de la prendre en haut ; il suffit de connaitre exactement la distance contact/surface table et ensuite de compenser cette distance (un décalage)

En fait, sur une imprimante comme la mienne, on prends le Z sur la table, mais tout ce que ça donne, c'est la distance palpeur/table ; il faut donc ensuite compenser pour tenir compte du fait:

1) que le palpeur n'est pas exactement à la même hauteur que la buse (il est plus haut, sinon il raclerait sur la pièce)

2) que tu doit laisser une "marge" pour la première couche ; la valeur de cette marge te permettra de régler l'écrasement de ta 1ière couche pour avoir une bonne accroche.

donc au final, même avec un palpage sur la table, il y a aussi un décalage qui devra être inscrit dans le Gcode pour tenir compte des 2 points ci-dessus.

Sur une CNc, si le référencement du Z se fait en haut, c'est pour ne pas risquer d'accrocher la pièce ; il est tout à fait possible que tu soit obligé de référencer alors que la pièce et l'outil sont déjà montés (suite à une coupure de jus par exemple) et dans ce cas il vaut mieux que tes axes ne se baladent pas avec le Z en bas, donc on référence tj le Z en premier et en haut, et ensuite X et Y, le Z restant en haut.

Le pb avec une imprimante, et je ne sais pas comment on gère ça, c'est si tu fais une pièce en 2x ... comment référencer sur la table alors qu'il y a déjà une pièce dessus ? ... le Z ne peut pas descendre sans toucher la pièce (sur une architecture comme la mienne) donc on ne peut pas référencer ..

++
David

Bonjour à tous,

Bonjour David,

J'ai compris ce que tu m'as expliqué ! et JM aussi,

Ce qui me surprend c'est qu'on se fie à un réglage
( on peut quand même dire qu'une molette et une vis c'est vague comme précision ! )
pour arrêter une buse à 0.05 mm du plateau !

A moins encore une fois que j'ai zappé quelque chose !!

Merci,

Hervé

on peut quand même dire qu'une molette et une vis c'est vague comme précision !

Désolé, je ne vois pas trop de quoi tu parle ... ça ne doit pas être fait pareil sur la mienne.

Se serait bien si tu nous mettait des photos de ta machine (voir même de TES machines)

En ce qui me concerne, j'ai un palpeur (inductif ou capacitif, je ne sais pas) qui détecte la table ... ensuite ce n'est qu'une question de savoir quel est le décalage (offset) entre le moment ou le palpeur déclenche et la distance réelle buse/table. (donc en gros, en CNc, c'est comme savoir quelle est la hauteur de ton palpeur pour la compenser pour faire le 0)

une fois ce décalage connu (il ne change pas, tant que tu ne démonte pas le palpeur ou la buse), il est inscrit "en dur" dans le Gcode. Il fait parti de ce que l'on appelle le 'start gcode', qui est écris en en tête, avant les infos de mouvement des parcours d'outil.

++
David

Bonsoir!

Sur l'iTopie, il n'y a pas de capteur inductif ( enfin pas encore )

Quelques photos pour expliquer le coup de la molette !





J'espère que c'est plus explicite !!

Hervé

PS; sinon http://reprap.org/wiki/ITopie_Build_Manual/fr

Re,

@David, le mot CNC n'est pas réservé aux fraiseuses numériques pilotées par ordinateur.
A mon sens c'est une erreur de dire CNC à la place de Fraiseuse CNC.
Une imprimante 3D est aussi une CNC. Cela me semble important de ne pas utiliser le terme de manière générique.
Ou alors, pour décrire l'ensemble des machines CNC : Fraiseuse, mais aussi plasma, imprimante, laser, plotter, pick and place, etc.
D'ailleurs les anglophones font le distingo : "CNC router", etc. C'est vraiment franco-français.

Concernant l'origine à prendre sur le brut, je pense que c'est hérité des méthodes traditionnelles.
N'ayant jamais été outillé de fraiseuse "tradi" je ne référence jamais sur le brut.
Sa position sur la table et son épaisseur m'a suffit jusqu'ici.
Je ne vois pas bien le cas de figure où j'aurais besoin de le faire.
Ceci dit, je n'ai sans doute pas été confronté à toutes les situations.

Concernant l'impression d'une pièce en deux fois, il y a plusieurs cas de figure.
On peut le faire par voie logicielle, en faisant une pause puis en effectuant une reprise,
ou encore, si la mécanique le permet, imprimer une à une plusieurs pièces sur le même plateau.
Simplify3D permet de reprendre une impression à n'importe quelle hauteur.
Il faut juste que la prise d'origine puisse se faire, donc que la pièce ne soit pas dans le chemin.
Sur ma machine principale, j'ai mis mon capteur assez loin, ce qui permet de prendre l'origine avec le plateau loin de la course.
Comme il prend d'abord les origines X, Y, le plateau est déjà loin lors de la prise d'origine en Z.
Ou encore : si tu as une surface d'impression amovible, tu la retire, tu fais ton origine et tu la remet après.
Le système de prise d'origine par interrupteur offre plus de possibilités que le palpage sur le plateau,
car tu peux prendre ton origine en l'absence plateau.

@Hevé34,
Le système par vis M3 suffit largement. Un tour complet de vis = 0.5mm
Il est très facile de régler par pas de quelques dizaines de micromètres.
1/10e de tour = 0.05mm. On visse encore plus finement que ça

++JM

N'ayant jamais été outillé de fraiseuse "tradi" je ne référence jamais sur le brut.
Sa position sur la table et son épaisseur m'a suffit jusqu'ici.
Je ne vois pas bien le cas de figure où j'aurais besoin de le faire.
Ceci dit, je n'ai sans doute pas été confronté à toutes les situations.

C'est nécessaire si ton "brut" n'est pas un simple bloc de matière ou tu a de la marge pour "viser" sans être obligé de savoir avec précision ou il est sur la table (comme de la découpe dans une plaque de CP, par exemple), mais si tu usine sur un brut qui est en fait une pièce déjà finie (par exemple l'usinage de la face 2 d'une pièce, ou une reprise d'usinage sur une pièce existante ou un "brut" taillé pile à la cote extérieure de la pièce finie) tu est obligé de repérer très précisément les origines de ton brut, et en prime, de l'aligner parfaitement avec un axe.

A mon sens c'est une erreur de dire CNC à la place de Fraiseuse CNC.

Oui, c'est vrai, l'habitude de considérer la fraiseuse comme une machine outil et l'imprimante comme un périphérique informatique (une imprimante quoi )

J'espère que c'est plus explicite !!

Ok, je vois ; c'est suffisamment précis si le bazar est rigide.

++
David

Bonsoir !

Merci à tous, et toutes mes excuses pour mes doutes !

Donc c'est bon, j'ai ma réponse !!

Hervé

Bonjour,

dh42 a écrit:C'est nécessaire si ton "brut" n'est pas un simple bloc de matière ou tu a de la marge pour "viser" sans être obligé de savoir avec précision ou il est sur la table (comme de la découpe dans une plaque de CP, par exemple), mais si tu usine sur un brut qui est en fait une pièce déjà finie (par exemple l'usinage de la face 2 d'une pièce, ou une reprise d'usinage sur une pièce existante ou un "brut" taillé pile à la cote extérieure de la pièce finie) tu est obligé de repérer très précisément les origines de ton brut, et en prime, de l'aligner parfaitement avec un axe.

Merci David, c'est plus clair pour moi.
Effectivement, ça a dû m'arriver quelques fois, mais par chance c'étaient des pièces plates (principalement des recto-verso à usiner)
donc il m'a semblé plus simple de faire une contre-forme dans un martyr.
Si ça m'arrivait avec une pièce complète dont je n'ai pas le modèle électronique pour faire une contre-forme,
là oui, je serai bien obligé de faire un palpage directement sur la pièce.
Rien que d'y penser ça a l'air d'une belle galère d'ailleurs, entre la mettre à la fois de niveau et alignée sur un axe...
Il ne faut pas se louper sinon la pièce est morte !

++JM

P.S. A toutes fins utiles : http://www.ctcprinter.com/

Bonjour à tous,

Bon, je suis en train de comprendre ( c'est facile ) l'utilité des pièces
imprimées de l'iTopie que je suis en train de monter !

Et encore une fois, j'ai une question !

Ce que je ne savais pas, c'est que dans les pièces imprimées, il y avait
aussi les pièces pour faire un extrudeur ! ne le sachant pas j'ai
commandé en même temps que d'autres pièces, un extrudeur métal.

Donc, ma question; vaut-il mieux utiliser l'extrudeur plastique ET son moteur
sur la tête ? OU comme ( je crois ) sur les Dagoma, l'extrudeur métal fixe et un
tube ptfe ?

Je sais que JM a créé un extrudeur super intelligent, mais j'attend pour l'imprimer !

Je trouve aussi que l'extrudeur sur la tête, enlève beaucoup de hauteur en Z ?

Merci à tous,

Hervé

Re,

Le débat alimentation directe ou déportée, est sans fin.
Si l'extrudeur est bon, ça marchera bien dans les deux cas.

L'extrudeur de la Itopie est le Wade L3K, dessiné par l'auteur de l'Itopie.
C'est un très bon extrudeur également. Il est probablement supérieur à ton extrudeur métal.
la perte en Z est (à peu près) de 40mm avec une E3D V6 et 32mm avec une Hexagon.
Mais le volume utile est au moins de 200mm en Z.
Rechercher la course maximale en Z n'est pas forcément un but ultime.
En impression 3D, il est toujours long d'imprimer des pièces hautes (par rapport à des pièces larges).
Les cas de figure où tu auras des impressions de plus de 16h demeureront assez rares.
80% au moins des pièces que tu imprimeras entreront dans un cube de 100mm.
Les grandes pièces ne sont pas forcément très rentables au prix du kg de filament.
Après, pour une corbeille à papier ou un abat-jour ça s'envisage.

++JM

Salut,

Rien que d'y penser ça a l'air d'une belle galère d'ailleurs, entre la mettre à la fois de niveau et alignée sur un axe...
Il ne faut pas se louper sinon la pièce est morte !

Non, pas vraiment, mais que ce soit une fraiseuse CNc ou manuelle, plus tu a besoin de précision et plus c'est long et délicat à régler, et si en plus tu fais de la série, ça peux encore compliquer les choses.

La bonne manière de faire, c'est celle qui te conviens le mieux ... et surtout, ... celle qui marche et qui est la plus sécurisante (pour toi et pour la machine)

En fait, suivant le type de pièce, le type de machine, de montage d'usinage, d'outillage de contrôle disponible, de nb de pièces identiques à faire et de tes préférences personnelles, il y a pas mal de méthodes différentes pour arriver au même résultat, et tu choisis celle qui est la plus pratique pour toi.

Ça dépend aussi du soft de pilotage et de ses possibilités (et de ta connaissance dudit soft)

++
David

Re-bonjour

J-Max.fr a écrit:Re,

Le débat alimentation directe ou déportée, est sans fin.
Si l'extrudeur est bon, ça marchera bien dans les deux cas.

L'extrudeur de la Itopie est le Wade L3K, dessiné par l'auteur de l'Itopie.
C'est un très bon extrudeur également. Il est probablement supérieur à ton extrudeur métal.
la perte en Z est (à peu près) de 40mm avec une E3D V6 et 32mm avec une Hexagon.
Mais le volume utile est au moins de 200mm en Z.
Rechercher la course maximale en Z n'est pas forcément un but ultime.
En impression 3D, il est toujours long d'imprimer des pièces hautes (par rapport à des pièces larges).
Les cas de figure où tu auras des impressions de plus de 16h demeureront assez rares.
80% au moins des pièces que tu imprimeras entreront dans un cube de 100mm.
Les grandes pièces ne sont pas forcément très rentables au prix du kg de filament.
Après, pour une corbeille à papier ou un abat-jour ça s'envisage.

++JM

JM, je ne veut pas te passer de la pommade !

Mais tu es comme David, tu as toujours raison ! enfin pour un novice comme moi !
Effectivement, l'extrudeur en plastique, j'ai découvert que c'était le papa de l'iTopie qui
l'avais créée !

Donc je me range à ton expérience !

PS; le poids du moteur ne pénalise pas trop le Z ?

Merci !

Hervé

Re,

Et non, comme tout le monde ça m'arrive de me tromper...
Généralement je veille à donner des informations correctes, mais je ne suis pas infaillible, loin de là.

Le poids sur le chariot X ne va pas pénaliser les mouvements en Z.
Sur cet axe on monte de quelques dizaines de micromètres par couche.
La transmission est à vis, donc tu vois, c'est pas très véloce et il y a largement assez de couple.
Ce que ça va changer ne se situe pas là. C'est au niveau des mouvements en X.
Comme le chariot sera plus lourd de quelques centaines de grammes, cela va limiter la vitesse d'accélération du moteur X.
Pour banaliser : le moteur X mettra plus de temps pour atteindre sa vitesse de croisière.
Sur un grand trajet, comme par exemple traverser en diagonale le plateau, ça ne sera pas trop grave.
Car la distance est suffisamment grande pour que le moteur atteigne sa vitesse maximale pendant le trajet.
En revanche, lors des petits changements de direction (fréquents en remplissage ou pour des contours sinueux),
il ne sera pas aussi véloce vu qu'il restera longtemps en phase d'accélération, donc pas au mieux de ses performances.
Mais ce n'est pas dramatique non plus. Disons que sur certaines pièces, ça peut allonger le temps d'impression de 15 à 20%.
Sachant que le plus important dans l'impression de pièces, c'est pas le temps d'attente avant de l'avoir, mais la qualité finale.

Autre facteur du surpoids, c'est que plus la masse en mouvement est importante, plus il attacher du soin à la qualité des guidages.
S'il y a le moindre jeu dans les guidages, chaque déplacement peut entraîner des vibrations qui influenceront la qualité de la pièce.
Or on sait qu'en impression 3D il peut y avoir des changements de direction très rapides.
Donc un chariot X lourd accompagné de guidages approximatifs, le tout sur une machine pas très rigide,
et on a un cocktail pas terrible pour la qualité globale d'impression.
Du coup, pour obtenir des impressions de qualité, on réduira encore d'avantage l'accélération et la vitesse maximale de la machine.

Avec l'Itopie, le risque est moindre car le châssis est très correct, surtout si réalisé en MDF, matériau qui absorbe beaucoup de vibrations.
Reste la qualité des guidages sur laquelle il vaut mieux ne pas mégoter de toute manière.

++JM

Bonsoir !

Oui, JM je sais que personne n'est parfait !

En fait ( comme toujours ) je me suis mal expliqué mais ( comme toujours )
tu as répondu juste

Je voulais effectivement parler du surpoids de la tête et du mouvement du X
qui serai pénalisé ! mais tu y a répondu !

Je verrai pour les guidages, on parle des Igus en polymère ? ou d'autres ? il y
a de bon et de moins bons retours ?

Le hasard a fait , qu'un jour un copain partant à la retraite, m'a rapporté du boulot
plein de petits roulements et 10 roulements linéaires identiques au (?) LMUU ( ? )

Même taille même diamètre, mais qui eux viennent du Japon !

Je ne connait pas leur qualité, mais il travaillais à la construction de machines
biologiques ( les engins qui trempent des aiguilles dans des flacons et qui jouent
à les analyser ! ) je pense qu'ils ne prenaient pas du bas de gamme ! alors on verra !

En tout cas, merci !

Hervé

Bonjour,

Les douilles Igus marchent bien et sont très silencieuses.
Ce n'est pas tout à fait comme des douilles à roulement car le maintien est meilleur,
mais comme il y a plus de surface en contact, il y a aussi plus de friction.
Rien de vraiment problématique, mais une douille polymère ne "tombe" pas par gravité sur un axe vertical.
Au contraire, elle reste en place, et il faut qu'elle embarque beaucoup de poids ou qu'on la mobilise pour qu'elle glisse.
J'en avais mis sur mes machines pour le bruit et l'absence de jeu.
Au bout d'un an, elles commençaient à prendre un peu de jeu.
Toujours moins que des douilles chinoises neuves, mais quand même.
Vu le surcoût, j'ai trouvé la longévité assez courte. Parrait-il que ça s'use moins sur des barres alu que sur des Stub. A voir.
Mais du coup j'ai changé pour des douilles en bronze, et cela me semble le meilleur rapport qualité/prix/longévité,
vu que c'est carrément moins cher que les Igus et que je n'ai pas noté à ce jour d'usure.

Si tu as des LM8UU de qualité, alors ils devraient être sans jeu et un peu moins bruyants que leurs homologues chinois.
Il me semble avoir lu que la norme LMx... était justement une norme japonaise,
de là à savoir si c'est vraiment produit là bas, c'est pas sûr car généralement ils font produire à Taiwan (ce qui est bon signe aussi).
Quoi qu'il en soit, autant les utiliser. Tu verras par la suite s'ils nécessitent ou pas d'être remplacés.
N'oublies pas qu'il faut graisser les parcours à l'intérieur des douilles avant montage (graisse au lithium).
S'ils sont de qualité, ils devraient être étanches et ne pas laisser fuir de la graisse.
A nettoyer et à regraisser après 5000 heures d'opération ou 2 ans maximum.

Elle s'annonce bien cette Itopie

++JM

Bonjour !

C'est encore moi  !!

Allez, deux questions !

--Quand vous installez le X (?? c'est ça ? ) enfin, le portique horizontal  !
comment savez vous que l'ensemble est bien perpendiculaire aux barres
verticales ?

Je pense qu'a la main, il est difficile de juger ! ça coulisse bien, mais des
guides linéaire ont quand même un peu de jeu, même minime, et à la main,
on ne sent pas si ça " tire dessus " ou non ?

Je reconnait que des pièces imprimées plus des barres de huit, je n'arrive pas
à " sentir le dur " ! car une fois les tiges filetées installées il n'y a plus de
" sensation " ! !

Alors simplement regarder au pied à coulisse la position des deux supports par
rapport au socle de base ?

--j'ai réinstallé un PC en Windows XP, j'ai réussi à télécharger et à installer
Cura 1407, mais impossible d'ouvrir Cura 2.3.1 ? je le télécharge, je l'installe,
mais impossible de l'ouvrir !
Est-ce parce-qu'il ne s'ouvre pas avec XP mais W7 et après ?
Bon, j'ai aussi répétier j'aurai le choix !!

Merci à tous,

Hervé

Salut,

j'ai réinstallé un PC en Windows XP, j'ai réussi à télécharger et à installer Cura 1407, mais impossible d'ouvrir Cura 2.3.1 ?

Cura 2.3.1 ne fonctionne pas sur XP, il faut au moins W7 ; dernière version qui marche sur XP, Cura 15.04.3

Pour l'alignement, sur la Dago, j'ai aligné une barre verticale avec la table (équerre de méca), puis la 2ieme par rapport à la 1ière (pied à coulisse 350mm)

l'alignement du portique a ensuite été fait pour qu'il soit // à la table (cales de réglage posées sur la table)

++
David