Découverte de la lutherie et fabrication d'une viole de gambe...
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Re: Découverte de la lutherie et fabrication d'une viole de gambe...
bonjour de meme l'os se travaille avec les outils pour le bois ou le métal
j'ai un ami qui fait du tournage et de la fabrication de bijoux en os
c'est ce qu'il fais
les vieux loups de mer de par chez moi façonnaient des grigris et souvenirs avec leurs couteaux durant les campagnes de peche
j'ai un ami qui fait du tournage et de la fabrication de bijoux en os
c'est ce qu'il fais
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lamecanique76- complétement accro
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Re: Découverte de la lutherie et fabrication d'une viole de gambe...
J'ai lu qu'il fallait mouiller l'os avant de le travailler. Notamment avec un tour.
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meles- Admin
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Re: Découverte de la lutherie et fabrication d'une viole de gambe...
et quand ça chauffe, ça sent très très mauvais !
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sangten- Modérateur
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Re: Découverte de la lutherie et fabrication d'une viole de gambe...
Comme pour la colle à l'os. J'ai un peu de mal avec l'odeur .....
FMJ- complétement accro
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Re: Découverte de la lutherie et fabrication d'une viole de gambe...
Bonjour à tous,
Je confirme, ça pue!
C'est en voyant qu'ils vendaient des os à moelle au rayon boucherie que l'idée m'est venu...
J'ai donc suivi vos conseils et j'ai utilisé ce que j'avais sous la main, à savoir scie à métaux râpe et lime.
Comme j'ai vu que ça se coupait bien à la scie à métaux, j'ai monté la lame d'origine sur la SAR, avec sa denture assez fine elle est mieux adaptée pour ce matériau assez dur.
Ça se scie facilement.
J'en ai fait un sillet
Pour en revenir au vernis, le résultat après 5 couches et un égrainage au G400 carrosserie lubrifié à l'huile de lin.
La dernière couche sera polie avec du tripoli de Venise et huile de lin.
A suivre...
Je confirme, ça pue!
C'est en voyant qu'ils vendaient des os à moelle au rayon boucherie que l'idée m'est venu...
J'ai donc suivi vos conseils et j'ai utilisé ce que j'avais sous la main, à savoir scie à métaux râpe et lime.
Comme j'ai vu que ça se coupait bien à la scie à métaux, j'ai monté la lame d'origine sur la SAR, avec sa denture assez fine elle est mieux adaptée pour ce matériau assez dur.
Ça se scie facilement.
J'en ai fait un sillet
Pour en revenir au vernis, le résultat après 5 couches et un égrainage au G400 carrosserie lubrifié à l'huile de lin.
La dernière couche sera polie avec du tripoli de Venise et huile de lin.
A suivre...
Dernière édition par diomedea le Lun 2 Avr 2018 - 16:25, édité 1 fois
diomedea- complétement accro
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Re: Découverte de la lutherie et fabrication d'une viole de gambe...
Bonjour à tous
JP, l'os quand il sort de boucherie, c'est un peu comme du bois frais. Il sèche et durcit avec le temps.
La différence fondamentale : essaie de mettre un douglas dans ton pot au feu...
JP, l'os quand il sort de boucherie, c'est un peu comme du bois frais. Il sèche et durcit avec le temps.
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sangten- Modérateur
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Re: Découverte de la lutherie et fabrication d'une viole de gambe...
Je m'en était un peu douté...sangten a écrit:JP, l'os quand il sort de boucherie, c'est un peu comme du bois frais. Il sèche et durcit avec le temps.
Pour le pot au feu je préfère le gaiac!
diomedea- complétement accro
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Re: Découverte de la lutherie et fabrication d'une viole de gambe...
Pour le pot au feu je préfère le gaiac!
C'est vrai que c'est plus gras, mais c'est aussi plus dur. A nos âges, soyons bienveillants pour nos dents.
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sangten- Modérateur
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Re: Découverte de la lutherie et fabrication d'une viole de gambe...
Je sais pas s'il va bouger en séchant mais comme cela ça donne très bien visuellement !
FMJ- complétement accro
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Re: Découverte de la lutherie et fabrication d'une viole de gambe...
Bonjour JP,
j'avais fait quand j'étais môme des nœuds de cravates texans avec de l'os… bien sec.
c'est une belle matière à travailler, même si la pince à linge sur le nez est obligatoire
en viellissant, l'os à tendance à jaunir un peu, mais bien poli on obtient un bel effet lustré.
Pour tes couches de vernis, tu les a passées au splater ou à la mèche de coton ?
j'avais fait quand j'étais môme des nœuds de cravates texans avec de l'os… bien sec.
c'est une belle matière à travailler, même si la pince à linge sur le nez est obligatoire
en viellissant, l'os à tendance à jaunir un peu, mais bien poli on obtient un bel effet lustré.
Pour tes couches de vernis, tu les a passées au splater ou à la mèche de coton ?
seb92- complétement accro
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Re: Découverte de la lutherie et fabrication d'une viole de gambe...
diomedea a écrit:Je m'en était un peu douté...sangten a écrit:JP, l'os quand il sort de boucherie, c'est un peu comme du bois frais. Il sèche et durcit avec le temps.
Pour le pot au feu je préfère le gaiac!
Bonjour,
apparemment, certains font cuire l'os avant l'usinage : http://www.webarcherie.com/index.php?/topic/19245-travail-de-los/
Du coup, yabon le pot au feu !!
Perso, le Gaillac, plûtôt pour la daube...
Wally- je prends du galon
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Re: Découverte de la lutherie et fabrication d'une viole de gambe...
Bonjour à tous,
J'ai également fait bouillir l'os pendant une heure avant de le nettoyer.
A suivre...
tout simplement au pinceau!seb92 a écrit:Pour tes couches de vernis, tu les a passées au splater ou à la mèche de coton ?
Aussi!Wally a écrit:Perso, le Gaillac, plûtôt pour la daube...
J'ai également fait bouillir l'os pendant une heure avant de le nettoyer.
A suivre...
diomedea- complétement accro
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Re: Découverte de la lutherie et fabrication d'une viole de gambe...
Pour enlever la viande ..... et la moelle ....
Qui se doutera que la fabrication de cette viole a commencé avec un bouillon à la moelle ???......
Qui se doutera que la fabrication de cette viole a commencé avec un bouillon à la moelle ???......
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Re: Découverte de la lutherie et fabrication d'une viole de gambe...
Tu as une âme de poète ce matin!
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Re: Découverte de la lutherie et fabrication d'une viole de gambe...
Bonjour à tous, bonjour Vincent,
Je rebondis un peu sur ce que tu as écrit ici:
PS: Le tour arrive demain!
Je rebondis un peu sur ce que tu as écrit ici:
Est ce que ça veux dire qu'il n'y a pas de poche de résine dans le sapin? Et donc s'il y en a c'est forcément de l'épicéa?vincent91 a écrit:Les quatre genres de "resineux" qui produisent de la resine sont les pins (Pinus) les epicea (Picea), les mélèzes (Larix) et le Douglas ou "pin" d'Oregon (Pseudotsuga Mensii) Même si ça parait bizarre, des arbres comme le cedre ou le sapin ne sont pas à,proprement parler des resineux.
PS: Le tour arrive demain!
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Re: Découverte de la lutherie et fabrication d'une viole de gambe...
salut
en tout cas, dans le cèdre, la résine et ses poches, c'est pas ça qui manque.
en tout cas, dans le cèdre, la résine et ses poches, c'est pas ça qui manque.
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Re: Découverte de la lutherie et fabrication d'une viole de gambe...
Zioup Jean-Paul & vous tous,
Je ne perds pas une miette, c'est un régal !
Et cela n'a rien à voir avec l'os à moelle…
Il me semble qu'il y avait un article dans "Le Bouvet" sur l'utilisation de l'os.
Il faudrait que je recherche, mais je n'ai malheureusement pas le temps.
Si jamais il t'arrive de vouloir faire une réplique d'une Gibson Lespaul et que tu souhaites me l'offrir, je suis preneur.
Je ne perds pas une miette, c'est un régal !
Et cela n'a rien à voir avec l'os à moelle…
Il me semble qu'il y avait un article dans "Le Bouvet" sur l'utilisation de l'os.
Il faudrait que je recherche, mais je n'ai malheureusement pas le temps.
Si jamais il t'arrive de vouloir faire une réplique d'une Gibson Lespaul et que tu souhaites me l'offrir, je suis preneur.
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Re: Découverte de la lutherie et fabrication d'une viole de gambe...
Ah zut! Le cèdre est pourtant dans la liste des "pas à proprement parler des résineux"... Il me semble que le cèdre et le cyprès sont assez proche, et pourtant je n'ai pas mémoire d'en avoir vu dans le second.sangten a écrit:en tout cas, dans le cèdre, la résine et ses poches, c'est pas ça qui manque.
C'est drôle, je te voyais plus avec une viole de gambe!Guilhèlmus a écrit:Si jamais il t'arrive de vouloir faire une réplique d'une Gibson Lespaul et que tu souhaites me l'offrir, je suis preneur.
Maintenant que tu le dis pour la revue ça me dis quelque chose... Ça ne serait pas plutôt dans un Bois+?
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Re: Découverte de la lutherie et fabrication d'une viole de gambe...
C'est drôle, je te voyais plus avec une viole de gambe!Guilhèlmus a écrit:Si jamais il t'arrive de vouloir faire une réplique d'une Gibson Lespaul et que tu souhaites me l'offrir, je suis preneur.
L'habit ne fait pas le moine…
Je serai plutôt tenté par la cithare/psaltérion. Mais au niveau musique, je suis une daube, ça règle le problème.
C'est possible. Non, j'ai trouvé. N°180 du Bouvet.
Maintenant que tu le dis pour la revue ça me dis quelque chose... Ça ne serait pas plutôt dans un Bois+?
@+ Pegvi
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Re: Découverte de la lutherie et fabrication d'une viole de gambe...
Comme ça c'est dit!Guilhèlmus a écrit:Mais au niveau musique, je suis une daube, ça règle le problème.
Merci pour la revue, je vais regarder ça...
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Re: Découverte de la lutherie et fabrication d'une viole de gambe...
Comme je l'ai indiqué, ce n'est pas la présence d'un peu de résine dans le bois qui definit un "resineux" : de multiples vegetaux peuvent secreter des resines, gommes, glus (ce sont des substances analogues sinon synonymes) en reaction des blessures, maladies ou aggression d'insectes . Ce qui, au sein de la famille des gymnospermes , definit un résineux, c'est la présence dans le bois d' organes specifiques qu'on appelle les canaux à résine. Ces canaux sont des structures complexes, nouvelles sur le plan évolutif , qui ressemblent beaucoup aux canaux de sève, organes caractéristiques d'une autre famille végétale apparue plus tardivement dans l'évolution à savoir les feuillus (ou angiospermes).
(L'apparition de structures spécialisée aussi complexes et aussi semblables que les canaux à résine et les canaux (ou vaisseaux) de seves chez deux familles végétales apparues successivement pose selon moi la question de la filiation eventuelle entre ces familles. Je n'ai pas souvenir d'avoir vu cette question soulevée et traitée, mais elle est logique. Mon hypothèse est que les canaux auraient changé d'affectation. L' hypothèse alternative serait une evolution convergente (on appelle ainsi l'apparition de structures analogues chez des êtres vivants appartenant à des familles ou branches différentes ) mais à vue de pif je la crois moins probable, vu la proximité "phylogénétique" et temporelle des deux types d'arbres. Et je n'ai pas la réponse a cette question dont tous les gens normaux se contrefoutent, et qui revient me turlupiner chaque fois que je regarde une photo de résineux au microscope, c'est une question logique qui a forcement été posée avant moi, et qui a peut être reçu une réponse. Helas je n'ai pas la compétence pour savoir ou rechercher cette eventuelle reponse: il faudrait qu' un expert botaniste passe par là ... Cette parenthèse est une façon de dire que la curiosité scientifique est une une forme de dérangement mental avec laquelle il faut être indulgent même si elle enerve, car comme dit Audiart: " Heureux soient les fêlés, car ils laissent passer la lumière" ...
On peut aussi noter que ce n'est pas non plus " l'odeur de résine" qui caracterise les résineux. Cette odeur, que des chimistes, parfumeurs, ou oenologues qualifieraient plutôt de balsamique, est due à des composés aromatiques qui peuvent être présents ailleurs que dans la résine.
Ce qui definit les "résineux", ce sont donc les canaux de resine. Il n'existe que quatre familles de gymnospermes qui possedent de tels canaux, lesquels ont la même structure generale mais varient en nombre et en diamètre selon la famille considérée. Chez les pins il sont très gros, très nombreux, et visibles tl'oeil nu. Ensuite, je crois me souvenir que viennent , par ordre décroissant pour le nombre et la taille des vaisseaux les mélèzes les épicéas et les douglas.
La presence de poches de resine dans les bois est possible chez les gymnospermes denués de canaux de resine, mais leur abondance est quand même, à ma connaissance, corrélée à l'abondance de ces canaux.
Il ya un moyen industriel simple d'éliminer les poches de résine et les soucis qu'elles peuvent causer lors de la mise en oeuvre du bois. C'est le chauffage en étuve seche à température élevée (70 ou 80 degrés je crois). Ce chauffage suffit à éliminer définitivement la résine par vaporisation ou sublimation. Je que que cela se fait par un cycle spécial de chauffage ajouté en fin de séchage du bois en étuve, et que cette pratique est habituelle avec les pins ou épicéas destinés à l'industrie d'ameublement . Il faudrait demander aux professionnels, scieurs, industriels , marchands de bois si on le fait aussi pour des essences comme le sapin ou pour les autres essences de gymnospermes qui ne font pas partie des quatres familles "résineuses": ca donnerait une idée de la présence non pas accidentelle et rare mais réelle et significative de poches de résines dans ce genre de bois. Je ne connais pas la réponse.
( Si quelqu'un vous donne une reponse, il faudra juste se méfier du fait que le sapin et epicea , "résineux" , bois quasi identiques d'aspect et de propriétés, sont souvent vendus l'un pour l'autre, et que si vous parle de "sapin" étuvé pour en purger la résine, il faut être sûr de quoi on parle réellement.
En revanche si un scieur vous garantit qu'il fait subir ce même traitement à du bois de cèdre vrai ( cedrus), de redwood, cyprès, thuya, podocarya, araucaria, if ou genévrier , hemlock ou tsugas, j'en serais un peu étonné, mais je le croirais: il faut douter de tout, sauf des faits.
La encore, si quelqu'un peut aporter des infos ou témoignages precis , je suis tout ouïe.)
(L'apparition de structures spécialisée aussi complexes et aussi semblables que les canaux à résine et les canaux (ou vaisseaux) de seves chez deux familles végétales apparues successivement pose selon moi la question de la filiation eventuelle entre ces familles. Je n'ai pas souvenir d'avoir vu cette question soulevée et traitée, mais elle est logique. Mon hypothèse est que les canaux auraient changé d'affectation. L' hypothèse alternative serait une evolution convergente (on appelle ainsi l'apparition de structures analogues chez des êtres vivants appartenant à des familles ou branches différentes ) mais à vue de pif je la crois moins probable, vu la proximité "phylogénétique" et temporelle des deux types d'arbres. Et je n'ai pas la réponse a cette question dont tous les gens normaux se contrefoutent, et qui revient me turlupiner chaque fois que je regarde une photo de résineux au microscope, c'est une question logique qui a forcement été posée avant moi, et qui a peut être reçu une réponse. Helas je n'ai pas la compétence pour savoir ou rechercher cette eventuelle reponse: il faudrait qu' un expert botaniste passe par là ... Cette parenthèse est une façon de dire que la curiosité scientifique est une une forme de dérangement mental avec laquelle il faut être indulgent même si elle enerve, car comme dit Audiart: " Heureux soient les fêlés, car ils laissent passer la lumière" ...
On peut aussi noter que ce n'est pas non plus " l'odeur de résine" qui caracterise les résineux. Cette odeur, que des chimistes, parfumeurs, ou oenologues qualifieraient plutôt de balsamique, est due à des composés aromatiques qui peuvent être présents ailleurs que dans la résine.
Ce qui definit les "résineux", ce sont donc les canaux de resine. Il n'existe que quatre familles de gymnospermes qui possedent de tels canaux, lesquels ont la même structure generale mais varient en nombre et en diamètre selon la famille considérée. Chez les pins il sont très gros, très nombreux, et visibles tl'oeil nu. Ensuite, je crois me souvenir que viennent , par ordre décroissant pour le nombre et la taille des vaisseaux les mélèzes les épicéas et les douglas.
La presence de poches de resine dans les bois est possible chez les gymnospermes denués de canaux de resine, mais leur abondance est quand même, à ma connaissance, corrélée à l'abondance de ces canaux.
Il ya un moyen industriel simple d'éliminer les poches de résine et les soucis qu'elles peuvent causer lors de la mise en oeuvre du bois. C'est le chauffage en étuve seche à température élevée (70 ou 80 degrés je crois). Ce chauffage suffit à éliminer définitivement la résine par vaporisation ou sublimation. Je que que cela se fait par un cycle spécial de chauffage ajouté en fin de séchage du bois en étuve, et que cette pratique est habituelle avec les pins ou épicéas destinés à l'industrie d'ameublement . Il faudrait demander aux professionnels, scieurs, industriels , marchands de bois si on le fait aussi pour des essences comme le sapin ou pour les autres essences de gymnospermes qui ne font pas partie des quatres familles "résineuses": ca donnerait une idée de la présence non pas accidentelle et rare mais réelle et significative de poches de résines dans ce genre de bois. Je ne connais pas la réponse.
( Si quelqu'un vous donne une reponse, il faudra juste se méfier du fait que le sapin et epicea , "résineux" , bois quasi identiques d'aspect et de propriétés, sont souvent vendus l'un pour l'autre, et que si vous parle de "sapin" étuvé pour en purger la résine, il faut être sûr de quoi on parle réellement.
En revanche si un scieur vous garantit qu'il fait subir ce même traitement à du bois de cèdre vrai ( cedrus), de redwood, cyprès, thuya, podocarya, araucaria, if ou genévrier , hemlock ou tsugas, j'en serais un peu étonné, mais je le croirais: il faut douter de tout, sauf des faits.
La encore, si quelqu'un peut aporter des infos ou témoignages precis , je suis tout ouïe.)
Dernière édition par vincent91 le Jeu 31 Mai 2018 - 20:23, édité 8 fois (Raison : a)
vincent91- complétement accro
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Re: Découverte de la lutherie et fabrication d'une viole de gambe...
Merci Vincent, ce n'est n'est pas aussi simple que ça...
JM Ballu dans sont livre: "Bois de musique - La foret berceau de l'harmonie" est également clair sur la confusion entre sapin et épicéa dans les ateliers de lutheries, tant ils sont durs à différencier...
JM Ballu dans sont livre: "Bois de musique - La foret berceau de l'harmonie" est également clair sur la confusion entre sapin et épicéa dans les ateliers de lutheries, tant ils sont durs à différencier...
diomedea- complétement accro
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Re: Découverte de la lutherie et fabrication d'une viole de gambe...
Guilhèlmus a écrit:
Si jamais il t'arrive de vouloir faire une réplique d'une Gibson Lespaul et que tu souhaites me l'offrir, je suis preneur.
Ah ah, le Père il s'est fait démasquer
++
David
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Traduction Française de CamBam et de sa documentation.
Re: Découverte de la lutherie et fabrication d'une viole de gambe...
Je ne comprends pas bien le sens de ta remarque Jean-Paul:
Parles-tu de l'interêt pratique de différencier sapin et epicea?
Je suis tout a fait d'accord avec l'idée que cet intérêt n'est pas evident dans la plupart des usages, y compris la lutherie. C'est la qualité de l'échantillon qui compte, et elle ne dépend pas des differences infimes entre deux types de bois quasi- identiques mais des différences de qualités très importantes à l'intérieur de chaque espèce. On est bien d'accord qu'en lutherie , plus que l'espèce de bois ce qui compte ce sont les qualités de rectitude et de densité du bois rencontrée sur un arbre de grande taille à pousse lente plutôt que sur un arbre jeune à pousse rapide.
Ou bien parles-tu de la difficulté technique supposée de distinguer sapin et épicéa? La, je m'inscrit en faux, la distinction est simple, la presence (ou l'absence) de canaux de resine est aise a affirmer et constitue un critère quasi-absolu. C'est de plus un critére ne sert pas seulement à différencier ces deux espèces, c'est l'un des premiers critères pris en compte dans la classification des gymnospermes.
Voici ce qu'écrivent par exemple Collardet et Besset dans leur livre "Bois Commerciaux, Tome 1 Resineux et Coniferes , page 131: (editions Vial).
"Les canaux résinifères sont toujours présents dans l'épicéa, contrairement au sapin qui en est dépourvu, mais ils sont petits et peu apparents sur une coupe en bois de bout, sauf à la loupe, bien qu'ils soient toujours assez nombreux."
Ce livre est ma bible pour ce qui regarde tous nos bois domestiques. C'est une référence fiable, très complète, que je n'ai jamais pris en défaut.
Je n'en dirais surement pas autant du livre de Jean-Marie Ballu "les Bois de Musique" . Je ne le trouve ni tres interessant ni fiable. La competence de l'auteur est etonnament faible, en matière d technologie du bois, surtout avec les titres et les diplômes qu'il affiche. La nomenclature des bois est au fil du texte est peu cohérente, peu rigoureuse. La terminologie est souvent imprtecise ou dépassée pa exemple son emploi des expressions " bois de printemps" et " bois d'été" au lieu de "bois précoce" et "bois tardif". Il enfonce souvent des portes ouvertes , par exemple p.125 où il dit en parlant des cordes de violons : "contrairement à la rumeur elles ne sont pas en boyau de chat mais de mouton..."). Accordons lui qu'il n'endosse pas les âneries usuelles sur l'influence des phases de lune lors de l'abattage sur la qualité du bois (question tranchée depuis longtemps, par le seul fait que l'affirmation d'une différence observable de la qualité du bois en fonction de la phase d'abattage n'est pas compatible avec le fait que personne n'est capable d'identifier cette periode d'abattage par l' examen du bois quelle que soient les moyens et la durée de l'observation).
Mais il enonce tout de même de très grosses aneries qui font douter de la realmité de ses diplomes. Je n'en citerai que deux :
page 27, il affirme que le retrait du bois est plus important dans le sens radial que dans le sens tangentiel alors que c'est l'inverse, sans aucune exception.
page 34 il dit (je résume le propos, car en plus de dire des bêtises il ecrit comme un pied) qu'un épicéa qui a poussé lentement produit "surtout du bois initial et peu de bois d'eté", alors que c'est, la encore, exactement l'inverse.
Et qu'on ne parle pas de coquilles , de lapsus: un auteur qui se respecte se relit, se fait relire et n'en laisse pas passer un tel nombre. Quand je le compare a un livre comme le Collardet et Brsset que j'ai cité ou celui de notre ami Pierre Bouilot "les rabots" que je n'ai pratiquement pas relevé une erreur de ponctuation, ce livre est du gloubi-boulga, une accumulation d'approximations, d'impropriétés, de confusions, d'imprécision des sources, de superficialité du propos . Il est clair a ce degré qu'il ne s'agit pas d' erreurs ponctuelles qui ne relèvent de la négligence mais d'une incompetence plus grave et generale.
L'auteur est peu familier de la technologie du bois, mais il ne semble pas connaitre beaucoup mieux la musique, l'acoustique, ou la lutherie: tout ce qu'il rapporte, il semble l'apprendre des gens qu'il a rencontrés pour ce livre. Leurs propos ne semblent jamais reformulés, recoupés, mis en perspective. Quand il évoque des faits et des études "scientifiques" il n'en fournir jamais la référence precise. Impossible de savoir s'il s'agit d'etudes serieuses, contrôlées, publiées dans des revues honorables, qu'on peut alors accepter ou réfuter , et en tous cas vérifier ! On aimerait beneficier d'une expérience de terrain réelle, associée a des connaissance de base plus solides plutpot que de banalités dignes d'un stagiaifre de première année d'ecole de journalisme. Un livre de reference n'est pas , j'ai le regret de l'apprendre à l'auteur la m^me chose qu'un article dans le Parisien ou un reportage tele popur des gens qui n'y connaissent rien.
Evidemment on se demande comment un livre intitulé "Bois de musique" dont l'auteurne connait à l'evidence ni le bois ni la musique pourrait sortir de la mediocrité et de l'océan de livre baclés qui paraissent tous les jours.
On me répondra que c'est un livre qui n'est pas voué à la vérité scientifique et rationnelle, et que le sujet peut laisser une place à la poésie, à l'incertain, au génie et au mystère.
Et là vous parquez un point. De fait la poésie est présente dans de ce livre, en tous cas dans son titre . L'incertain est lui présent à toutes les pages. Le génie n'est pas absent non plus, en ce sens que l'auteur est ingénieur du Génie Rural. Quant au mystère, c'est de savoir comment on pu bien lui donner son diplôme!
J'arrête là mon propos pour ne pas déroger à ma réputation de tolérance et de pondération. Je ne vais donc surement pas commencer à être méchant envers ce livre et son auteur.
Disons juste qu'avec eux, le jour où la c..ie deviendra une discipline Olympique, on va entendre la Marseillaise...
Une musique qui ne nous laissera pas de bois!
Parles-tu de l'interêt pratique de différencier sapin et epicea?
Je suis tout a fait d'accord avec l'idée que cet intérêt n'est pas evident dans la plupart des usages, y compris la lutherie. C'est la qualité de l'échantillon qui compte, et elle ne dépend pas des differences infimes entre deux types de bois quasi- identiques mais des différences de qualités très importantes à l'intérieur de chaque espèce. On est bien d'accord qu'en lutherie , plus que l'espèce de bois ce qui compte ce sont les qualités de rectitude et de densité du bois rencontrée sur un arbre de grande taille à pousse lente plutôt que sur un arbre jeune à pousse rapide.
Ou bien parles-tu de la difficulté technique supposée de distinguer sapin et épicéa? La, je m'inscrit en faux, la distinction est simple, la presence (ou l'absence) de canaux de resine est aise a affirmer et constitue un critère quasi-absolu. C'est de plus un critére ne sert pas seulement à différencier ces deux espèces, c'est l'un des premiers critères pris en compte dans la classification des gymnospermes.
Voici ce qu'écrivent par exemple Collardet et Besset dans leur livre "Bois Commerciaux, Tome 1 Resineux et Coniferes , page 131: (editions Vial).
"Les canaux résinifères sont toujours présents dans l'épicéa, contrairement au sapin qui en est dépourvu, mais ils sont petits et peu apparents sur une coupe en bois de bout, sauf à la loupe, bien qu'ils soient toujours assez nombreux."
Ce livre est ma bible pour ce qui regarde tous nos bois domestiques. C'est une référence fiable, très complète, que je n'ai jamais pris en défaut.
Je n'en dirais surement pas autant du livre de Jean-Marie Ballu "les Bois de Musique" . Je ne le trouve ni tres interessant ni fiable. La competence de l'auteur est etonnament faible, en matière d technologie du bois, surtout avec les titres et les diplômes qu'il affiche. La nomenclature des bois est au fil du texte est peu cohérente, peu rigoureuse. La terminologie est souvent imprtecise ou dépassée pa exemple son emploi des expressions " bois de printemps" et " bois d'été" au lieu de "bois précoce" et "bois tardif". Il enfonce souvent des portes ouvertes , par exemple p.125 où il dit en parlant des cordes de violons : "contrairement à la rumeur elles ne sont pas en boyau de chat mais de mouton..."). Accordons lui qu'il n'endosse pas les âneries usuelles sur l'influence des phases de lune lors de l'abattage sur la qualité du bois (question tranchée depuis longtemps, par le seul fait que l'affirmation d'une différence observable de la qualité du bois en fonction de la phase d'abattage n'est pas compatible avec le fait que personne n'est capable d'identifier cette periode d'abattage par l' examen du bois quelle que soient les moyens et la durée de l'observation).
Mais il enonce tout de même de très grosses aneries qui font douter de la realmité de ses diplomes. Je n'en citerai que deux :
page 27, il affirme que le retrait du bois est plus important dans le sens radial que dans le sens tangentiel alors que c'est l'inverse, sans aucune exception.
page 34 il dit (je résume le propos, car en plus de dire des bêtises il ecrit comme un pied) qu'un épicéa qui a poussé lentement produit "surtout du bois initial et peu de bois d'eté", alors que c'est, la encore, exactement l'inverse.
Et qu'on ne parle pas de coquilles , de lapsus: un auteur qui se respecte se relit, se fait relire et n'en laisse pas passer un tel nombre. Quand je le compare a un livre comme le Collardet et Brsset que j'ai cité ou celui de notre ami Pierre Bouilot "les rabots" que je n'ai pratiquement pas relevé une erreur de ponctuation, ce livre est du gloubi-boulga, une accumulation d'approximations, d'impropriétés, de confusions, d'imprécision des sources, de superficialité du propos . Il est clair a ce degré qu'il ne s'agit pas d' erreurs ponctuelles qui ne relèvent de la négligence mais d'une incompetence plus grave et generale.
L'auteur est peu familier de la technologie du bois, mais il ne semble pas connaitre beaucoup mieux la musique, l'acoustique, ou la lutherie: tout ce qu'il rapporte, il semble l'apprendre des gens qu'il a rencontrés pour ce livre. Leurs propos ne semblent jamais reformulés, recoupés, mis en perspective. Quand il évoque des faits et des études "scientifiques" il n'en fournir jamais la référence precise. Impossible de savoir s'il s'agit d'etudes serieuses, contrôlées, publiées dans des revues honorables, qu'on peut alors accepter ou réfuter , et en tous cas vérifier ! On aimerait beneficier d'une expérience de terrain réelle, associée a des connaissance de base plus solides plutpot que de banalités dignes d'un stagiaifre de première année d'ecole de journalisme. Un livre de reference n'est pas , j'ai le regret de l'apprendre à l'auteur la m^me chose qu'un article dans le Parisien ou un reportage tele popur des gens qui n'y connaissent rien.
Evidemment on se demande comment un livre intitulé "Bois de musique" dont l'auteurne connait à l'evidence ni le bois ni la musique pourrait sortir de la mediocrité et de l'océan de livre baclés qui paraissent tous les jours.
On me répondra que c'est un livre qui n'est pas voué à la vérité scientifique et rationnelle, et que le sujet peut laisser une place à la poésie, à l'incertain, au génie et au mystère.
Et là vous parquez un point. De fait la poésie est présente dans de ce livre, en tous cas dans son titre . L'incertain est lui présent à toutes les pages. Le génie n'est pas absent non plus, en ce sens que l'auteur est ingénieur du Génie Rural. Quant au mystère, c'est de savoir comment on pu bien lui donner son diplôme!
J'arrête là mon propos pour ne pas déroger à ma réputation de tolérance et de pondération. Je ne vais donc surement pas commencer à être méchant envers ce livre et son auteur.
Disons juste qu'avec eux, le jour où la c..ie deviendra une discipline Olympique, on va entendre la Marseillaise...
Une musique qui ne nous laissera pas de bois!
Dernière édition par vincent91 le Jeu 31 Mai 2018 - 21:42, édité 10 fois (Raison : nnée)
vincent91- complétement accro
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Re: Découverte de la lutherie et fabrication d'une viole de gambe...
Bonjour à tous,
C'est donc ça une LesPaul?
PS: Le tour arrive tout à l'heure!
Je n'avais pas prêté attention au écrits de JM Ballu, je faisais confiance à "l’Ingénieur général du Génie rural, des Eaux et des Forets"! J'ai également son ouvrage sur les bois de marine.
dh42 a écrit:Ah ah, le Père il s'est fait démasquerGuilhèlmus a écrit:Si jamais il t'arrive de vouloir faire une réplique d'une Gibson Lespaul et que tu souhaites me l'offrir, je suis preneur.
C'est donc ça une LesPaul?
PS: Le tour arrive tout à l'heure!
Oui, c'est ça, c'est juste pour savoir ce que je travaille! Je vais dont essayer de trouver une loupe...vincent91 a écrit:Je ne comprends pasle sens de ta remarque jean paul;
Parles-tu de l'interêt pratique de vouloir absolument differencier sapin et epicea? Cet intérêt n'est de fait pas evident dans la majorité des usages, y compris probablement la lutherie.
Ou bien parles-tu de la difficulté supposée de distinguer de façon simple sapin et epicea .
Je n'avais pas prêté attention au écrits de JM Ballu, je faisais confiance à "l’Ingénieur général du Génie rural, des Eaux et des Forets"! J'ai également son ouvrage sur les bois de marine.
diomedea- complétement accro
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Re: Découverte de la lutherie et fabrication d'une viole de gambe...
Zioup,
Ce n'est pas une LesPaul, c'est une SG.
Étant jeune, j'étais plus Slash qu'Angus young…
Une LesPaul:
@+ Pegvi
Ce n'est pas une LesPaul, c'est une SG.
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Guilhèlmus- complétement accro
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