Modification d'un lit rabattable

Bonsoir à tous,

J'ai commencé avant Noël un gros ( pour le volume) projet. Il s'agit de modifier un lit rabattable de la marque La Méridienne.

Il y a 25 ans, habitant la région parisienne, à la naissance de ma dernière fille, nous étions un peu à l'étroit dans notre appart. Nous avions trouvé Fg St Antoine, le fabricant , aujourd'hui disparu, La Méridienne. Une de leurs spécialités était le lit rabattable ou escamotable. C'était un meuble d'ébénisterie de très belle facture avec un mécanisme de montée et descente invisible et parfaitement compensé tout au long de sa course. Rien à voir avec ce qui se fait habituellement. Nous l'avons acheté une petite fortune, mais bien moins cher que les m2 de chambre qu'il nous aurait fallu en plus.

Bref, cette armoire lit nous a suivi sur plusieurs déménagements. Son démontage et remontage sont un peu complexes, mais l'ensemble est d'une fiabilité à toute épreuve.

Dans nos nouvelle pénates bretonnes, nous souhaitions mettre ce même type de lit. Je me suis dit que maintenant que je suis équipé pour le travail du Bois et Métal, je n'avais qu'à recopier. Mais tout de même, le mécanisme me paraissait pas vraiment simple pour que je m'en sorte rapidement tout seul. Enfin, personnellement, j'aurais bien tenté le coup, mais ma chère et tendre qui attend les portes intérieures et les placards de la maison m'en a fortement dissuadé.
Elle sait être persuasive...

Alors mon ami gogol puis mon autre ami LBC... consultés, je trouve enfin deux lits de 90 du même type à vendre. J'aurais préféré un lit de 140 ou 150 , mais dans ce cas, je récupére 2 paires de mécanismes, j'aurai une paire en rad. Sur l'autre, je mets des vérins plus puissants, je refais une armoire à la taille voulue, un sommier/matelas que je fais faire ( car ils sont particuliers à ce type de lit)  et ça fera la rue Michel. Hélas, le vendeur me dit qu'il y a quelqu'un dessus. J'échange avec le vendeur et lui demande si son acheteur saura les démonter, car ce n'est pas évident. "Un déménageur doit faire le boulot" me dit-elle. Je confie à ma femme que je m'attends à avoir un coup de fil pour me dire que la vente ne se fera pas. Ca n'a pas manqué. Quinze jours plus tard, le vendeur me rappelle et me dit que le déménageur n'a pas su démonter les deux lits de 90. Qu'elle en a un troisième de 150 cm! Ouais!!!  

Bien sûr nous concluons pour une somme assez dérisoire car personne en sait démonter ce genre de meuble et qu'elle ne sait qu'en faire. Je file louer une camionnette, monte sur Paris, démonte le lit, le charge et repars tambour battant au Far West.


Ceci dit, le meuble n'est pas terrible. Il est en excellent état, mais ne nous plait pas.

Voici quelques photos pour mieux comprendre.

D'abord, le mécanisme. Les premières photos sont prises lors du dernier déménagement du premier lit.
Les premières photos montre le mécanisme sans le vérin et le lit












La dernière photo montre le lit en place et le vérin en position ouvert. Le principe est assez simple. Un vérin pneumatique sert de compensateur en exerçant une force sur un bras de levier qui appuie par l'intermédiaire d'un roulement à bille sur une came profilée composée de trois tôles séparée par des entretoises. Le lit est fixé par un autre bras de levier sur cette came.

Les trois tôles de la came:



l'ensemble du mécanisme que j'ai modélisé sur SU ( c'était quand j'avais l'intention de les faire moi même.)



Je pense qu'avec une CNC, ce serait une partie de plaisir. Il faut savoir que le sous-traitant qui réalisait ce mécanisme est parti en retraite sans avoir revendu son concept ( je ne sais si c'était breveté).


Maintenant, en ce qui concerne le meuble lui même, le voici tel qu'il m'a été présenté au moment de l'achat sur LBC:
en position fermée:



et en position ouverte:





Le meuble que nous avons depuis 25 ans comporte en plus du lit de 150, deux lingères de 60 de chaque coté et des rangements au dessus:



Détail des menuiseries:



Le projet est, après avoir nettoyé les mécanismes qui sont bien poussiéreux, de refaire une façade qui s'inspire largement de la façade à miroir ci dessus. Ce qui pourrait ressembler à cela:



Ty Coat

Encore un sacré projet, que je vais suivre avec intérêt. Une histoire à dormir debout!

Merci Rémi, par chance, ce n’est pas électrique. Moins de risque de le relever en étant sur le lit!en plus,ce serait tête en bas.
Ty Coat

bonjour

Voilà encore un projet très intéressant.
Ticket siouplé

Me too, ticket please...
(Moi de même, veuillez me réserver une place confortable, s'il vous plait...)

++
Renaud

Zioup,
Ticket, siège 32. Banc des cancres.

Amitiés,
@+ Pegvi

Bonsoir à tous,

j'prends le ticket à côté de Guilhèlmus. En fait, c'est juste parce que c'est à côté du radiateur aussi, la ou les cancres s'épanouissent

Bien à vous tous

Bonsoir à tous,

J'avance dans mon projet, bien trop lentement à mon goût.
Suite de la partie mécanique en quelques images:

Les deux vérins pneumatique de 1500 DaN. La date: 1989.




Après quelques recherches, il s'avère qu'il n'en font plus dans cette dimension. Le diamètre de la tige est maintenant plus gros. Si je dois les changer, il faudra ré-usiner le pivot qui reçoit l'extrémité du vérin.
Question, est ce que cela vaut le coup de changer ces vérins? Je n'en sais rien . On dit que ce type de vérin peut durer très longtemps. Qu'en pensez vous?

Détail des parties mécaniques et simulation du mouvement avant démontage, histoire de bien comprendre ce qui se passe:









les différents éléments démontés et après nettoyage:











Ce qui est intéressant, c'est le système de freinage de fin de course qui est assuré par une lame en bronze ou laiton, boulonnée entre trois cales en acier. Celles-ci ne se voient pas sans démontage car elles sont cachées par la joue extérieure de la chape.



Cette lame vient s'insérer en force entre deux lames d'acier dont l'une est profilée, fixées au bras mobile




Cette partie mécanique ne devrait pas poser de problème au remontage.

Il s'agit maintenant de rhabiller la mariée, je veux dire refaire une nouvelle beauté à l'armoire.

A plus...

Ty Coat

Ty Coat a écrit:Question, est ce que cela vaut le coup de changer ces vérins? Je n'en sais rien . On dit que ce type de vérin peut durer très longtemps. Qu'en pensez vous?

Qui vivra vérin...

Merci Alain, ça ressemble au fût du canon...

Ty Coat

`désolé. Je ne flooderai plus...

Bonsoir à tous,

Je reprends la modification de ce lit rabatable. Après la partie mécanique, j'attaque la phase la plus longue et la plus intéressante: rhabiller la mariée. En effet, le meuble que j'ai récupéré est plaqué à l'extérieur avec du bouleau cérusé et d'un style assez plat qui ne nous plait pas. Aussi ai-je décidé non pas de refaire tout le placage, mais seulement la façade comme explosé au début de ce fil. Ensemble de cadres de 10mm d'épaisseur sur 68 mm de largeur en chêne entourant des miroirs de tailles progressives. Les deux flancs du meuble seront peint de la même couleur que les murs. Seul un montant en chêne sera posé sur le coté pour compléter l'illusion d'un montant en chêne massif de chaque coté de la façade.

je pars de planches avivées de chêne de 35 mm qui sont assez propres. Je passe rapidement sur la partie dégauchissage, rabotage:



en utilisant l'entraineur, ce qui est bien pratique pour des planches de 2500mm.

La tentation était grande de refendre les planches de 35 pour obtenir 3 planches de 10mm. L'épaisseur de ma nouvelle lame de SAR de 25 mm de largeur le permet théoriquement. Mais je me contente d'en faire deux. Bien m'en a pris. La précision de coupe à la SAR est pour moi toujours délicate. Malgré un guide parallèle  qui me permet un excellent réglage théorique, j'ai toujours des imprécisions. Mon presser bricolé vite fait y est sans doute pour quelque chose. Il faut que je m'en fasse un avec un rouleau presseur à ressort réglable. C'est dans la valise de projets depuis un moment.. La tension de ma lame est aussi un autre facteur.



Après les opérations de préparation, reste à usiner les bois en largeur exacte. Un rapide essai, sans y croire, à la raboteuse, me confirme que mon épaisseur de 10 mm est trop faible pour que le morceau tienne sur le chant. J'aurais du mettre en largeur avant refente.

Je me bricole un petit outillage pour fixer les planches sur la SAR.



Il me permet d'avoir un réglage parfaitement parallèle à l'axe de déplacement du chariot. Cela va bien servir également pour les coupes biaises à 45°.

L'assemblage puis le collage de ces deux parties à 45° est délicat. J'aurais préféré utilisé la méthode décrite par Brice (ebe3)  dans son fil sur pieds de meuble simili massif. Mais l'épaisseur de 10 mm me paraissait bien faible.



Au final, ce n'est pas trop mal. Juste quelques désafleurs en extrémité, histoire de flipoter un peu.


Le morceau de MDF qu'on aperçoit est là pour rattraper la feuillure qui existait à l'origine). Les montants ne courent pas jusqu'en bas des panneaux, c'est une réserve pour la plinthe de finition qui viendra à la fin.

Le revers de la médaille, sur un des panneaux, j'ai un gros désafleur de 2 mm environ sur la face qui doit recevoir le placage.



Ce coté correspond à la partie intérieure du montant. Je ne peux pas me permettre de jouer sur cette largeur sans impacter l'ensemble du meuble. Je suis bon pour un gros flipot!

Je peux enfin passer à l'étape du placage. J'ai bien fait quelques tentatives de placage il y a plusieurs dizaines d'années.... J'avais même une petite scie à plaquage, que j'ai recherchée désespérément sans résultat. Bref, je pars à zéro.
J'ai acheté du plaquage chêne de 0,6mm  en bande de 150mm par 2500mm. Je vais tenter le collage à chaud bien qu'il fasse relativement froid dans l'atelier (10°) ce n'est pas idéal. Donc premier achat:



Un fer à repasser ( sans vapeur) modèle de base à 22 €. L'emprunt du fer de ma chère et tendre ne m'a même pas effleuré. Prudence est mère de sagesse.

Et aussi un rouleau en mousse pour appliquer la colle:



Et c'est parti pour cette découverte. Je commence par bien préparer ma surface à plaquer et reboucher les imperfections au Losung ( très bon produit, facile à mettre en oeuvre et séchant très vite, voire trop vite).

Ensuite, je découpe mon placage à la dimension de ma surface à plaquer avec 1 cm environ de marge supplémentaire sur les cotés. Je ne prédécoupe pas à ce stade les détails de ma surface, à savoir le passage des plinthes par exemple. Je pense être plus à l'aise pour le faire une fois collé. J'utilise un cutter avec une lame neuve en m'appuyant sur une règle en acier, le placage reposant sur un tasseau de bois. Ca se passe pas trop mal, même s'il y a tout de même quelques arrachements car le fil du placage n'est pas parallèle à la coupe.
Je pose mon placage sur une surface ( ici de l'OSB, c'est ce que j'avis sous la main et ce n'est pas terrible) et je le tends aux deux extrémités avec du ruban de masquage de façon à ce qu'il n'ait pas tendance à bouger ni à s'enrouler pendant l'encollage.



J'encolle ensuite mon support:



Et j'attends que ma colle sèche sur les deux cotés.

J'attends
J'attends encore. Ma colle ne sèche pas vraiment. Trop froid.



Je passe le fer en position coton au dessus de la colle ( 2 à 3cm) pour la faire chauffer et aider à la sécher. Le résultat n'est pas top.

Au final, je décide de poser mon plaquage et de passer le fer. Le placage chauffe, se déforme un peu là ou il n'y a pas de support ( sur les cotés) mais semble adhérer. Je décide alors de passer à une méthode plus classique et d'utiliser des serre joints.




Le lendemain matin, j'ôte mes serre joints et après découpe des bords, voilà le résultat:



Je suis assez content du résultat. Quelques petits accros sur le premier placage:



Désolé pour la netteté ...



Rien de bien méchant qui ne puisse se camoufler à la finition.

Pour le reste, je suis content.



Les deux panneaux de coté terminés, je vais pouvoir passer à l'habillage du panneau principal qui cachera le lit. Bien qu'il faille que je commence par refaire le placage des chants du panneau, je ne résiste pas à poser les cadres à faux frais pour voir ce que cela donne.

D'abord la plinthe qui doit être ajustée pour permettre l'ouverture et le basculement du lit.



et la vue d'ensemble du panneau:



Les montants des panneaux de coté viendront fermer les cadres qui recevront les glaces.

A plus

Ty Coat

sangten a écrit:
`désolé. Je ne flooderai plus...

Ah Non, ce ne serait plus drôle!

Ty Coat

Bonjour à tous,

Suite de ma modification de lit rabattable.

Pour coller l'habillage, je dois tenir compte de la plinthe qui viendra en finale. Je la pose à faux fris afin de positionner mes premières traverses. Ce sont celles qui seront les plus faciles à serrer au collage car les serre-joints seront aux deux extrémités basse et haute des panneaux. A partir de là, je pourrais poser les deux montants du milieu qui seront positionnés en s'appuyant sur les traverses hautes et basses.

Avant de continuer, je prépare l'emplacement des "fentes" qui serviront de poignées invisibles pour descendre le lit. Je dois faire attention à avoir assez d'espace par rapport aux portes de placard qui vient au dessus pour passer les doigts. De plus, comme la largeur sera quasiment égale à l'âme du panneau, les cotés seront réduit à l'épaisseur du placage ou presque. Pas top. Je décide de faire des inserts en bois dur qui seront plaqués en chêne à l'intérieur pour assurer la continuité d'aspect notamment dans la courbure:











Une fois les traverses haute et basses collées, je passe au collage des montants du milieu. Le serrage est un peu plus acrobatique.



C'en est de même pour les traverses intermédiaires. Je n'ai pas pris de photos car j'étais un peu tendu. D'abord pour bien positionner les traverses, ensuite pour éviter qu'elles ne glissent de travers au serrage. Car j'ai besoin de garder des mesures très précises entre les traverses pour insérer les miroirs qui viendront finaliser l'habillage.
Ce sera un peu peine perdu car au final j'aurais entre deux  traverses particulière  un décalage de près de 2 mm. Je verrai plus tard comment rectifier cela au rabot.



Cette étape terminée, je passe au vernissage après ponçage grain 180 puis 320, une couche de vernis parquet mat, égrenage au 320 puis deuxième couche. Le rendu commence à me satisfaire. Je ferai sans doute une troisième couche une fois remonté après tous les ajustements et petits accrocs réparés.








L'étape suivante est le transport de tout ces morceaux et remontage. Une camionnette de 7m3 ne sera ps superflue pour démanger le panneau de 180*170 qui passe juste en peu en travers après l'avoir protégé de couvertures.

Enfin , l'étape attendue et un peu redoutée, c'est le remontage. Outre les mises à niveau indispensables pour que le lit fonctionne correctement, la difficulté est de remonter les vérins pneumatiques. Il faut en effet comprimer des vérins de 1500 N ( soit une force de 150kg ) pour rentrer leur oeil dans les axes. Un rapide essai à la sangle me persuade de faire autrement. C'est d'autant plus difficile que pour mettre en place, il faut que les vérins soient dans  la position la plus longue ( détendue) et donc que le lit soit fermé. Il faut donc se faire enfermer dans le lit ( sans le sommier et le matelas), mettre les vérins en place et ensuite faire rouvrir le lit.

Je fais des essais à blanc de serrage de vérin, lit non monté.  Je décide d'utiliser mes grands serre joint deacir à piston de 1m. Bien sûr, il sont à l'atelier à 70 km...
Premier essai, le vérin ne reste pas en place sur l'arrondi de l'oeuil. Je confectionne une petite pièce en chêne qui me permet de coiffer la tête du vérin tout en ménageant l'espace suffisant pour le passage de l'axe. Et la, ça marche.



LA flèche rouge montre l'axe du vérin, alors que le pied ( flèche verte) est lui déjà dans la chape du mécanisme comme illustré ci dessous.


Ensuite, je monte le panneau de  lit en place, sans les vérins ni le sommier  et fais un essai de manoeuvre. C'est très lourd à manœuvrer puisque le lit est en porte à faux, mais ça se fait et ça ferme parfaitement, le meuble est bien d'aplomb.

Oups, pas moyen de rouvrir le lit... Il s'ouvre de quelques centimètres mais pas plus. Que passa?  J'appelle Dulcinée à l'aide. Je n'ai pas envie de recevoir le panneau sur la tête tandis que je regarde dessous ce qui se passe.

Finalement, je m'aperçois que le panneau s'est voilé suivant une axe de symétrie verticale. J'ai un ventre d'1 cm environ qui fait que le bas du panneau bute sur la traverse fixe basse du meuble. Dans un premier temps, j'ai réduit la hauteur de cette traverse pour que le panneau puisse passer.

Je peux attaquer le remontage, on verra après le problème du voile qui sera surtout pénalisant à l'installation des miroirs. Et je passe au réglage de la position du bas du vérin. Les deux écrous de part et d'autre de la chape permettent de fixer la force du mécanisme en fin de course verticale. Je procède par tâtonnement pour que le panneau équipé du lit ( 40 à 50 kg de plus) termine sa course en douceur.



Voilà les vérins en position définitive.


Le lit est maintenant parfaitement compensé dans toutes les positions.







Détail des pieds relevables:


Vu de l'intérieur,



et une vue avant la pose des portes de placards qui recevront aux aussi des miroirs.




Il reste encore quelques finitions, la pose des plinthes et des miroirs, et à fermer le dessus du meuble jusqu'au plafond avant de reposer la corniche qui fait le tour de la pièce.

Et à espérer que mon ventre de panneau se réduise en séchant pour pouvoir poser les miroirs sans problème.


Ty Coat

Bonjour à tous,

Suite et fin de ce projet.

Tou d'abord, après deux mois de mise en place, le ventre de mon panneau central supportant le lit s'est réduit. Il est maintenant parfaitement acceptable.

J'ai du reprendre les montants des cadres de miroirs pour avoir une parfaite perpendicularité. J'ai utilisé un guillaume court à nez démontable.







Une fois les cadres bien perpendiculaires, j'ai pu prendre mes cotes. Les miroirs sont de plus en plus petit en allant vers le haut dans une proportion au nombre d'or.
Pour commander les miroirs, j'ai renoncé au fournisseur local ( 3 semaines de délai, prix 40% plus cher) et me suis tourné vers un fournisseur en ligne avec quelques appréhensions. Au final, les miroirs sont arrivés une semaine après, parfaitement emballés et aux cotes exactes!

J'ai choisi des verres clairs, bords polis puisque les miroirs ont un coté non protégé par le cadre.
Le collage avec du double face miroir d'une marque aux couleurs écossaises n'a pas posé de problème.
Enfin, un air de presque fini:







Restait à finir les plinthes ( pas de photos) et la peinture, pour bientôt.

Ty Coat

Salut

Superbe. On ne devinerait jamais ce qui se cache derrière. Je superkiffe.

Superbe aussi pour moi.

Les tons chauds me plaisent beaucoup (j'ai les mêmes à la maison)

Renaud

Zioup,

Flûte, j'étais passé à côté du sujet.
C'est splendidodegamme !

Extraordinaire !
Je suis fan.

@+ Pegvi

Le contraste entre déco légèrement désuète et le résultat final est bénéfique La finition a l'air superbe

Bonjour à tous,

merci pour les compliments...
Il me reste à équilibrer la mécanique de basculement. Avec les miroirs et les cadres, je rajoute 25 à 30 kg sur le panneau qui bascule. Il faut que je trouve le nouveau point d'équilibre!

Ty Coat

Bonjour ,je dispose du même système demonte et disponible pour ceux que ça intéresse,c est un système formidable mais je n en ai pas besoin !!Avec les verrins .