Réalisation d'un portail

Bonjour à tous,

Je n'ai pas posté depuis un moment et pour cause j'était occupé à la réalisation d'un portail.

On m'a donc demandé de réaliser un portail à double vantaux qui se trouve en bord de mer, avec un cahier des charges assez simple.
Réutilisation des ferrures, nécessité d'avoir une porte piéton, et je n'ai qu'une semaine pour le réaliser, et je ne serai pas dans mon atelier....

Voilà l'ancien portail, il est grand temps d'intervenir...
la porte piétons est encore fonctionnel et le grand vantaux est complètement affaissé


Photo redressée (°I=)

Première constatation il est très près du sol l'eau stagne est fait pourrir le bois.
L'ancien menuisier (sisi je vous assure ) n'a prévu aucun écoulement de l'eau sur les traverses.

Après l'avoir dessiné sur topsolid et réaliser la fiche de débit je me mets en quête d'une scierie qui à le bois nécessaire.

N'ayant qu'une semaine pour le réaliser et n'étant pas dans mon atelier.
Je décide de m'approvisionner en avivés, certes c'est un peu plus cher mais on a moins de pertes et l'on gagne du temps.
La partie structure du portail est en Sapelli et les lames du portails sont en réalités des lames de terrasses en Ipé lisses deux faces je me débarrasse de la partie corroyage de celle ci.

Délignage de certains avivés qui sont trop larges pour certains. Je prends habituellement comme surcotte 10mm en largeur et 20mm en longueur.


Le délignage s'effectue avec la festool et sa lame panther.


J'obtiens un chant quasi rectiligne et n'ai "qu'à" gérer l'équerrage avec le parement.


Au passage je toujours autant étonné par la forme de la sciure que génère cette lame...


Corroyage des 4 montants et de deux traverses pour le portail piétons.
Le Sapelli est délicat à raboter en contrefil, peut être avais-je des fer pas assez affûté ?



Après recouper mes quatre montants ensemble j'en profite pour tracer les futures mortaises.
Noter au passage l'utilisation d'une équerre à chapeau qui au passage est un outil formidable...
Je l'ai acheté au magasin à Paris Gagnard et millon.



Je dégage l'entrée de la mortaises avec un ciseau bien affûté pour que l'entrée sois bien propre.



Je réalise des mortaises débouchantes, pour assurer au portail une grande solidité.
On procède par retournement.
je commence par dégrossir avec une fraise en diamètre 12.


Puis avant de finir avec une plus grosses fraise j'équarri soigneusement les mortaises, je préfère c'est plus facile pour moi.



puis je fini avec une fraise plus longue tellement longue qu'elle dépasse de sous la semelle d'où la nécessité de commencer avec une plus petite et d'effectuer le changement sans toucher au guide parallèle.

Débouchant !



PS: la première photo est à l'envers impossible de savoir pourquoi !
A suivre...

Beau projet, intéressant.

Merci pour le partage, vivement la suite !

Salut Quentin,
Une aventure que je vais suivre avec attention,
Amitiés, Renaud

Je vais suivre aussi avec attention, j'en ai un à faire depuis bientôt deux ans

merci

@
Sam

Bonjour à tous,
Salut Quentin,

Très beau projet, je vais suivre avec attention.
Le côté "réalisation en dehors de l'atelier" m'intéresse bien   
J'ai hâte de voir comment tu fais !
Petite question : avec quel matos as-tu corroyé ton bois ?

Bon courage,
Amitiés, Damien.

Bonjour à tous, bonjour Quentin,

quentin91800 a écrit:Le délignage s'effectue avec la festool et sa lame panther.

Effectivement, la panther est la seule lame que je connaisse qui fasse des copeaux et non de la sciure!

Si le choix de l'ipé est judicieux en terme de durabilité, tu n'a pas peur qu'il soit trop lourd? cette essence a une densité moyenne supérieure à 1 ton portail va donc être très lourd! Environ 3x plus que si tu l'avait fais (par exemple) en red cédar...
Pour le contre fil... Les exotiques ont la particularité de pousser de tel façon, que le fil et le contre fil ce côtoient sur toute ta planche.
Sur cet échantillon d'iroko on le voit très bien, surtout sur le bois plus clair de centre. Les bandes claires puis foncées représente à chaque fois du fil et du contre fil


Bonne continuation!
Amicalement
JPaul

Bonjour,

Merci pour vos réponses ça me fait très plaisir !   

@ Damien : J'ai réussi à tout transporter dans une 206 notamment la petite kity 439 avec son pietement...   
Pour certaines étape notamment le collage il a fallu ruser !

@ JP : Le petit vantail fait 40kg environ et le grand 80 90kg, et oui c'est un bois très dense dur à couper, il fait une poussières très grasse, ce n'est pas un bois agréable à travailler je l'ai pris par défaut... Seul avantage quand on le scie une odeur de caramel se repend dans l'atelier !

Par contre j'ai remarqué que il y avait moins de contrefil en dosse que sur quartier sur mes avivés...

La suite j'ai confectionné un gabarit spécialement pour l'occasion afin d'usiner mes tenons. Toutefois il pourra resservir pour d'autre tenons.



La défonceuse glisse le long de la règle



J'ai placé une sauterelle pour maintenir en position ma pièces



J'ai choisi de ne pas respecter la règle du tiers ainsi je peux décaler le tenons pour avoir plus de matière d'un coté pour ma mortaises, pour éviter de la voir éclater. Comme l'illustre la pièces d'essai.



Tenons conforme !



Je peux commencer à fraiser mes tenons, j'utilise une fraise assez large 25mm de diamètre afin de minimiser les passes.
la cale que l'on vois sur la gauche me sers pour éviter que la défonceuse ne bascule ainsi que d'appui 6 (pour ceux qui  ont quelques notion d'isostatisme    )



Une joue de faite !





Une fois les deux traverses achevé on peux faire un premier assemblage à faux frais !



Première chose certains arasement ne sont pas au même niveau, je les rectifie avec un guillaume.



Je vérifie l'équerrage avec les diagonales et mon mètre.
On m'a recommandé ce modèle et je dois dire que c'est terriblement précis !
AlexDSL en a fait un article sur son blog je vous invite à aller jeter un oeil : BMI meter


Pour en revenir au portail j'ai un demi mm de différence.

Avant d'assembler je vais profiler les traverses afin de faciliter l'écoulement de l'eau. Actuellement elles sont rectangulaire sur l'ancien portail, il faut aider l'eau à s'écouler pour cela mes traverses vont devenir en forme de trapèze.

Je règle ma scie sur un angle de 10° et je profite que ma scie plonge afin de ne pas scie les tenons et de les laisser rectangulaire.




Après sciage il reste un petit bout que l'on fait facilement sauter en donnant un coup de scie japonaise près des arasement et en faisant sauter le tout avec un ciseau à bois.



voilà le résultat l'eau s'écoulera et ne stagnera pas.



J'en profite pour donner un quarts de rond sur les montants afin qu'il ne reste aucune arête vives. En passant le workmate c'est assez pratique pour ce genre de chose on peux faire tout le tour de la pièces sans avoir à déplacer le serre joints...



Je fait un quarts de ronds sur l'arasement du contre parement, afin que les éventuel désafleur ne se sente pas et sois invisible.



après un dernier assemblage à blanc pour voir si tout est conforme.
On peux passer au premier collage, j'ai utilisé de la Kleiberit PUR 501, je la trouve nettement plus dur après séchage que ses concurrentes.



Une chance on viens de s’offrir quelques grands serre joints ! Une paires en 1m, une en 1,5m et une en 1,8m !    



Il ne faut pas hésiter à avoir des assemblages un peu serré cette colle est un véritable lubrifiant !

Cette colle mousse beaucoup


Pour le nettoyage je nettoie avec les mêmes bâtonnet que pour l'encollage (ceux pour mélanger le café )
j'enlève le surplus puis j'attends 3h le temps que la colle ne mousse plus et qu'elle ne poisse plus sur les doigts on enlève ainsi facilement les surplus avec un ciseau à bois et un racloir.

Pour le grand vantail les chevrons sur lequel repose le petit vantail sont trop petit, je décide d'en dégauchir deux autres puis de les serrer avec des serres joints pour les rallonger.



Puis je pose deux montant en bout et je vérifie qu'il forment un plan



Je bornoie pour vérifier, ça ne va pas.



Je rajoute une petite cale sous le chevron de gauche et tout rentre dans l'ordre.



La voiture était déjà pleine et je n'ai pas pus emprunter les serres joints de 2m du lycée je colle à l'aide de sangle à cliquet .



Ce genre de sangle est très pratique et généralement sont très puissante !


A suivre...

Slt Quentin,

Quel beau travail. Dommage que tu n'aies pas créé ce post avant que je ne construise mon propre portail! Ça m'aurait permis de l'améliorer. J'aime bien le coup du profilage des traverses : simple mais astucieux. Pourquoi n'y ai-je pas pensé?!
J'ai hâte de voir le résultat final.
A bientôt.

Salut Quentin,

Très intéressant ton fil et bien détaillé  
J'ai utilisé cette colle Kleiberit cet été et je dois dire que je préfère de loin la vinylique... beaucoup plus facile à nettoyer !
Elle mousse tellement que ça "gerbe" de partout, il en reste des traces sur le sol de mon garage   

Amitiés, Damien.

damien58 a écrit:Salut Quentin,

Très intéressant ton fil et bien détaillé  
J'ai utilisé cette colle Kleiberit cet été et je dois dire que je préfère de loin la vinylique... beaucoup plus facile à nettoyer !
Elle mousse tellement que ça "gerbe" de partout, il en reste des traces sur le sol de mon garage   

Amitiés, Damien.

Oui moi aussi je préfère la vinylique, mais elle est incompatible en extérieur, certaines sont compatibles extérieur sous abri ou pièces humide mais dès que c'est pour des menuiserie vraiment extérieur (volet, portail, mobilier) je travaille avec de la polyuréthane.
Je l'ai seulement utilisé pour ce qui était structurel avec pour certaines choses j'ai pris un biberon de colle de GSB qui mousse moins et qui coûte moins cher   

@ Tvtorre : Effectivement je fait ce post car quand j'ai cherché des infos j'en ai trouvé très peu ou alors des articles très succinct.
Pour le résultat final même si le portail est achevé je vous fait attendre un peu

Salut à vous Tous,

D'accord avec vous deux en ce qui concerne la colle Kleiberit PUR 501.
Elle mousse, elle sali les doigts, c'est très désagréable mais elle colle comme pas une !

Elle est pourtant détrônée par la Kleiberit 510 qui est réservée aux professionnels.
Elle est utilisée pour les poutres lamellé-collées qui servent à construire les stades couverts.
Le vrai test est celui des rampes débillardées des escaliers.
En général, à la sortie du gabarit, la rampe "se relâche" un peu et perd de sa courbure.
Avec la 510 ce n'est pas pareil : la courbure est parfaitement respectée.

Cette 510 m'a servie pour mon meuble de salle de bain en robinier qui n'a pas bougé malgré les conditions difficiles (tout près d'un radiateur et en milieu humide)

Amicalement,
Renaud

bonjour ,

Renaud moi je n'utilise plus de PU en biberon mais en cartouche type silicone
je viens de réaliser un escalier en mélèze et des margelles de piscine
elle ne mousse pas trop et à une résistance très élevé, une polymérisation de 20 mm
colle de construction kleiberit 569 supratac.

slt Quentin,
chouette ton fil sur la réalisation de ton portail en exter. atelier avec l'outillages dit "de chantier " ; je veut dire par cela que ta fait avec juste avec se que t'avais emporté et qui plus est sur un temps limité ( une semaine je cru lire ), ce qui relève un peu de l'exploit ( car pas de place au loupé que l'on peu se permettre en atelier )...
j'ouvre grand mes   pour la suite du fil !!! surtout si ta d'autres Truc du style " écoulement d'eau "     
cdlt

Salut Quentin,

Ton sujet est très agréable à suivre et bien détaillé!   

Pour la colle PU, je l'utilisais pour les ruches (à la pluie) mais sa faible conservation et son nettoyage (avant séchage) ne sont pas des atouts pour mon petit rendement. Cette année je fais un essai à la titebond III sur une nouvelle hausse (en place de avril à uillet). Je verrais bien si c'est concluant et l'étendrait au corps [ou pas] (Les corps sont en place toute l'année et sous toutes conditions!).

A+

ebe3 a écrit:bonjour ,

Renaud moi je n'utilise plus de PU en biberon mais en cartouche type silicone
je viens de réaliser un escalier en mélèze et des margelles de piscine
elle ne mousse pas trop et à une résistance très élevé, une polymérisation de 20 mm
colle de construction kleiberit 569 supratac.

Bonjour Brice,
Merci pour la piste 569.
Je ne connaissais pas.
Sa durée de conservation, une fois ouverte, est-elle assez longue ?
En temps que petit consommateur, j'ai toujours peur que le système "biberon" génère pas mal de restes.

La 510 est vendue en pots de 0,8l.
Je la partage maintenant en utilisant des "petits pots de bébés" que je ferme hermétiquement.
J'aurai moins de perte ainsi... juste une peau qui se forme à la surface.

Amicalement,
Renaud

oui Renaud, le passage à la cartouche à été motivé
par la duré de vie après ouverture étant donné qu'il n'y à pas d'air qui pénètre à l’intérieur de la cartouche
contrairement au biberon que tu dois incliner et du coup l'air passe derrière le produit, commence ensuite
le processus chimique.
j'ai omis de dire à Quentin que je suivait ce fil avec intérêt, la construction sur chantier demande d'être imaginatif.

Vraiment, très intéressant ton reportage !

  

Bonjour à tous,

En effet Renaud ça colle au doigts je porte des gants jetable et encolle avec des bâtonnets en bois.

J'ai encore jamais eu de problème de conservation, cette colle polymérise avec l'humidité contenue dans le bois, donc je la conserve dans l'endroit le plus sec de la maison.

La suite.

L'avivé qui va servir au contrevent présente un gauchissement en hélice, ça va être dur de la passer dans la petite kity, je décide de supprimer les points haut avec mon stanley N°5 ( je suis allé chez Vincent91 pour le rénover )



Le Sapelli se rabote facilement à la main.



Une fois l'hélice supprimé je passe un coup de dégau sans m'occuper des chants, puis je rabote à la bonne épaisseur : 30mm
Une fois cela terminé le contrevent va lui aussi être en trapèze afin de maximiser l'écoulement de l'eau. Pour cela j'incline le guide de la dégauchisseuse et je profile les chants.
Puis au extrémité je trace le milieu.





Je ne résiste pas à la tentation de mettre quelques lames pour voir le rendu !



Pour les contrevent plutôt que de me fier au plan j'ai préférer tracer la futur découpe de celui ci.
Je l'ai fait à l'aide d'un ciseau en guise de tranchet.
Comme la traverses est en pente je me sers d'une petite équerre pour mettre mon ciseau bien droit.  



Puis je scie à la TS55.
Le tout est bien ajusté (je le mets en place à l'aide d'un serre joints) je mets un peu de colle pour qu'il tienne et que la colle fasse une étanchéité.



On vois bien ici que l'eau va s'écouler .


Pour m'éviter la séance grattage j'affleure en donnant un coup de scie.



Comme on peux le voir avec les deux cadres collé ça commence à être la crise de logement !


Puis je passe à la pose !
Pourquoi parce que les cadres sont plus facile à manipuler sans les lames !
Une fois les pentures posé et fixés avec deux vis je poserai les lames sur le portail.
J'ai prévu mes vantaux trop grand et trop haut volontairement.
Je coupe en bas pour centrer les pentures dans les traverses.
je mets des cales de 25mm en bas pour être sur qu'il ne touche pas le sol.

Un


Et deux


Je trace les futures emplacement des pentures, pour les encastrer.
Je défonce et je me sers comme règle de mon rail de guidage !



Je perce et visse et là je m'aperçois que je vais recouper en largeur mes vantaux puisque j'ai 36mm en plus,
préparation de bouchon.


Ils sont collé à la PU  puis arasé avec un ciseau et je donne un coup de cale à poncer pour parfaire.



Cette fois ci ça ferme sans se toucher!
Les pentures du grand vantaux sont suffisamment longue pour être fixer sur les deux montants, je perce (au bon endroit cette fois ci ! ) et je boulonne le tout avec des M8 en inox.



Ce genre de petit coffret est très complet il me sers à la fois de cliquet et de boite d'embout !

La pose des lames s'effectue en utilisant une queue de foret,


Il tombait tout le temps alors j'ai percé une chute avec celui ci et je laisse le foret dans la cale en laissant dépasser la queue.
Je me sers des deux perçage débouchant pour aligner mes boulons.

Un vantaux de fini, j'ai simplement recoupé les lattes du bas, en haut je recouperai une fois les deux vantaux achevé.



J'ai volontairement boulonné le contrevent ainsi je limite la déformation des lames et j'évite au contrevent de flamber.



Voilà comment je recoupe le surplus j'aligne mon pare éclat sur les deux montants aux extrémités je fixe le rail et je coupe en deux passe (L'ipé est très dense...)



On peux accrocher le grand vantaux en étant trois   


Verso


Je pose la tapé dans une chute de lame. Je la colle et vis.


On peux voir ici que le haut du portail à été recoupé à 10° pour que l'eau ne reste pas sur le bois de bout.
Le choix de le faire dans ce sens est simple cette eau ne coulera pas sur les traverses, quand elle s'écoulera.


Idem de l'autre coté


Les deux vantaux sont bien au même niveau.


La fermeture s'effectue à l'aide d'une clinche, je l'ai posé en utilisant la défonceuse est une fraise droite de 8mm




Il ne reste plus qu'à le peindre, mais ça ce n'est pas moi qui le ferai.



En espérant que ça en aide dans leur futur réalisation, ou projet extérieur!
Il faudra que j'y retourne pour faire quelques volets !
En tout cas j'ai pris beaucoup de plaisir à le réaliser et c'est de loin la plus grosse pièces que j'ai réalisé  
Le dernier soir il a plus dans la nuit le matin je suis allé voir et le portail était bien sec !

Beau boulot Quentin.

Belle réalisation
... et bonnes explications techniques et pratiques.

Effectivement, il y a plein de détails techniques qui sont bien motivés par le bon sens [le 6°, bien sûr (°I=)]
Je ne risque pas de laisser l'eau stagner sur mon futur portail...
Merci pour ce beau post.

Amicalement,
Renaud

J'ai encore jamais eu de problème de conservation, cette colle polymérise avec l'humidité contenue dans le bois, donc je la conserve dans l'endroit le plus sec de la maison.

Moi, j'ai les fonds de pots (biberons) qui voient la surface de la colle se couvrir d'une peau qui s'épaissi, s'épaissi... jusqu'à devenir inutilisable.
Et pourtant c'est stocké au sec.

Magnifique boulot, avec plein de petit trucs pour éviter les bêtises. Un grand pour ce beau reportage.

Juste, je trouve dommage de le peindre, mais bon, le reste des menuiserie sont bleus, donc ...

Dernière question, ce poids supplémentaire ne va t-il pas, à la longue, fragiliser l'ancrage des gonds et risquer de les desceller, surtout ceux du haut ?

@+

 

diomedea a écrit:Si le choix de l'ipé est judicieux en terme de durabilité, tu n'a pas peur qu'il soit trop lourd?l

Idem,
Il faudra peut-être poser une roulette et faire un chemin de roulement pour éviter qu'elle pique du nez !?

On se rejoint, Blaise.

meles a écrit:Magnifique boulot, avec plein de petit trucs pour éviter les bêtises. Un grand  pour ce beau reportage.

Juste, je trouve dommage de le peindre, mais bon, le reste des menuiserie sont bleus, donc ...

Dernière question, ce poids supplémentaire ne va t-il pas, à la longue, fragiliser l'ancrage des gonds et risquer de les desceller, surtout ceux du haut ?

@+

 

Comme vous au début j'était septique,
puis après avoir dégonder le grand je me suis aperçu qu'il était aussi lourd...

Les pilasses sont généreuses aussi 40*40cm.

Bonjour à tous,
Salut Quentin,

Félicitations ! Beau projet réalisé avec peu de moyens   

Amitiés, Damien.

Dernier truc,
quand je vois la qualité du travail de Quentin (et des jeunes du forums en général) du haut de leur 20 ans et moins, des fois (souvent), j'ai honte de vous montrer mes bricoles

Mais c'est finalement très bien comme ça !

@+

ben moi je suis sur le Q

très très très beau boulot, propre, soigné, étudié, et sur chantier qui plus est !

c'est fou ce qu'on peut faire avec seulement 3 outils (circulaire, défonceuse, guide) des tréteaux et quelques serre-joints.

Chapeau bas.